L’identité gastronomique d’un individu comme d’un pays se dessine par son approche pluriculturelle, son discours gastronomique, et sa définition du terme « gastronomie ». Des idéologistes de ce domaine patrimonial donnent naissance au « gastronomisme », source de critiques et d’éloges. Les valeurs hédonistiques de ce mode culturel illustrent une vision superficielle d’un patrimoine qui reste à inventorier et à valoriser. Mais, alors qu’elle s’inscrit dans le marbre de l’Humanité, la gastronomie n’apparait être qu’une diversité de cuisines et d’opinions définies par chaque gastronome, par ses origines, son éducation, ses traditions et ses savoir-faire.
Sommaire
introduction
Né d’un terreau
Définition du gastronomisme
Apprentissage sémiologique
Ultragastronomisme
La place de la subjectivité
L’engagement
Maitre de ses actes de mangeurs
Manger responsable
L’indépendance du choix
La politique du bon
Les critères personnels
Mon gastronomisme
A ma table
L’avenir du gastronomisme
La place de l’humanisme
Le gastronomisme est une science
La fracture gastronomique
Le dogme gastronomique
Le mangeur et ses choix de mangeur
Le choix d’être gastronome
Le gastronomisme est-il vivant ?
L’individualisation du repas universel
L’approche gastrosophique
Une gastronomie moraliste
L’apparence du savoir-manger
Le véritable gastronome
Gastrosophie et antagonismes rapprochés
Au-delà du réel
Questions posées à l’auteur par un internaute
conclusion
